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Le stress

Le stress : un grand facteur de risque de cancer

Tout le monde le sait : le stress n’est pas bon pour la santé. Pourtant, l’on ne sait comment s’en défaire. La vérité, c’est que le stress nous atteint sans même que l’on soit conscient que l’on en souffre. C’est quand les symptômes s’aggravent que nous prenons les mesures adéquates mais trop tardives pour soigner ce mal être. Le vrai problème du stress réside sur le fait qu’il est actuellement considéré comme l’un des facteurs majeurs de certains types de cancer, notamment le cancer du cerveau. Eh oui, il l’est. N’êtes-vous pas étonné de savoir que la plupart des personnes qui souffrent de cancer ont survécu à un moment donné de leur vie un événement très stressant ? Le stress et le cancer a une forte liaison. Et c’est prouvé par la science. Il affecte tout notre bien-être aussi bien physique que psychologique. Le dossier dans cet article.

Quelle relation y aurait-il entre le stress et le cancer ?

La question ne se pose peut-être plus. Mais pour apporter plus d’éclaircissements à ce sujet, nous allons essayer de vous donner des explications plus scientifiques. Pour confirmer leur hypothèse, les chercheurs de l’Université de Dalian en Chine ont effectué une étude sur des souris. Les résultats de leur analyse ont été diffusés dans le Journal of Clinical Investigation. Selon ces derniers, il s’avère que le stress chronique favorise le développement de cellules cancéreuses dans certaines zones du cerveau et du sein. Vous avez compris ! Le stress est bien le coupable des tumeurs cancéreuses du cerveau et du cancer du sein. Il y a un lien étroit entre ce problème psychologique et le risque cancérigène.

Comment cela se fait-il ?

Lorsque nous stressons, nous dérèglons l’activité de la surrénale hypothalamo-hypophysaire situé à la base du cerveau. Ce sont des petites glandes responsables dans la production de cortisol essentiel pour notre système immunitaire. Le dernier va donc s’affaiblir et il y aura surproduction de cette hormone. Ce qui n’est nullement pas bon pour notre système immunitaire. Et quand celui-ci ne fonctionne plus correctement, les tumeurs vont se développer à la place des cellules. L’affaiblissement du système immunitaire va permettre la libre entrée et la libre circulation des agressions extérieures telles que les virus, les bactéries, les parasites et la pollution. Pour ce qui ne le sait pas, la tumeur concerne la croissance incontrôlée de cellules favorisant ainsi l’excroissance des tissus. Pour le cas du stress, il développe des tumeurs malignes, c’est-à-dire des tumeurs liées au risque de cancer.

Surproduction de cytokines vaut cancer

Une autre explication vient aussi de confirmer que le stress trop intense favorise la surproduction des cytokines. Ce sont des petites protéines très puissantes ayant un grand rôle dans la défense de l’organisme et la communication intercellulaire. Bien que cela soit des protéines positives pour notre organisme, toute surproduction signifie dérèglement du système immunitaire. Et baisse de l’immunité, c’est du cancer garanti.

L’expérience proprement dite

Pour confirmer scientifiquement le lien entre le stress chronique et le cancer, les chercheurs, nous l’avons dit, ont expérimenté des souris. La moitié de ces souris étaient des témoins et l’autre des souris stressées. Les chercheurs les ont enfermés dans des cages durant environ 30 jours. Selon ces résultats, il s’avère que les souris appartenant au groupe de stressées ont présenté des tumeurs très importantes et qui se développaient plus rapidement que la normale. La justification de cette hypothèse se trouve du côté de l’épinéphrine, l’hormone la plus impliquée dans le stress.  En effet, selon les observations, le taux de cette hormone chez les souris stressées s’était rehaussé considérablement.

Dès que les chercheurs les ont administré un traitement pour inactiver le récepteur ADRB2 de cette hormone, les tumeurs se sont de plus en plus réduites et les cellules souches diminuaient également. A titre d’information, l’épinéphrine est responsable du cancer du sein.

Le stress

Le mode de vie, un autre facteur de risque non négligeable

Sachez que notre mode de vie est également un facteur majeur dans la formation de cellules cancéreuses. Et le stress a quelque chose à voir dans notre changement de mode de vie. Si nous nous stressons souvent, nous serons plus amenés à avoir des hygiènes de vie qui nous tuent. Combien de fois il y avait des personnes qui pensent trouver des solutions à leur stress dans le tabagisme et l’alcoolisme ? Ne nous étonnons pas de savoir que plus on est stressé, plus on est également amené à fumer et à boire.  Pourtant, ce n’est pas bon ni pour notre moral ni pour notre santé physique. Ce sont des facteurs de risque de certains types de cancer, d’obésité et de certaines maladies chroniques souvent incurables.

Solution au stress : faites le plein de vitamine C !

Eh oui, pour faire partir son stress, rien de tel que de faire le plein de vitamine C. Selon ce qui a été rapporté, cette vitamine est efficace pour cibler et soigner les tumeurs cancéreuses présentes dans notre corps. Pour établir cette hypothèse, les chercheurs ont prélevé le sang de 83 femmes atteintes du cancer du sein. Ils y ont constaté le taux d’épinéphrine très élevé. Ces femmes étaient très faibles et avaient un taux de survie très bas. Pour trouver une solution à leur stress, ces chercheurs sont administré leurs cellules cancéreuses du sein sur des souris. Ils les ont ensuite injecté de la vitamine C. Et incroyablement, les tumeurs cancéreuses se rétrécissaient.

Bref, il a déjà été prouvé depuis des décennies que la vitamine C est favorable pour lutter contre le cancer. Des scientifiques l’approuvent même comme étant un agent thérapeutique fort efficace pour prendre en charge tous les patients souffrant de stress chronique.

Sources:

https://www.lanutrition.fr/le-stress-augmente-t-il-le-risque-de-cancer

https://destinationsante.com/stress-travail-facteur-de-risque-de-cancer.html